L’entreprise est-elle un lieu de reconnaissance?

Date et horaire
22/11/2012 à 18:00
Lieu
Assemblée Nationale
Adresse
126, rue de l’Université, 75007 Paris
Télephone
Description de l'événement

Le colloque sur «  L’entreprise est-elle un lieu de reconnaissance ? » s’est tenu sous la présidence de Madame Colette LANGLADE, Députée de la Dordogne, à l’Assemblée Nationale ce lundi 26 Novembre 2012.

Le colloque, organisé par l’association Liens Directs dont le Président est Monsieur André ADDED, a réuni 115 participants au contact de la vie de l’entreprise. L’objectif du colloque a été d’ouvrir le débat sur le besoin de reconnaissance des dirigeants, managers et salariés dans l’entreprise et sur la nécessité d’un nouveau pacte social entre les partenaires sociaux pour améliorer la productivité et la compétitivité de nos entreprises.

Cette rencontre animée par Harry ABISUR (Directeur Associé- Cabinet Oréance) et Eyal CHVIKA (Avocat au Barreau de Paris), Administrateurs de Liens Directs, et le panel des acteurs de l’entreprise a été composé par :
– Monsieur Erick AZERHAD (Fédéral CFE CGC Energies, Conseiller Prud’hommes),
– Déborah FERRY (DRH McDonald’s Est Parisien),
– Christian POYAU (Président Directeur Général, Micropole, Administrateur Syntec Numérique),
– Joël ROCHARD (Inspecteur Général des Finances honoraire)
– et Marie-Pierre Simon KOCH (Psychologue-Psychanalyste, conseil aux entreprises, administrateur de Liens Directs).

De nombreux sujets ont été abordés parmi lesquels :
– l’importance de l’entreprise source de création d’emploi,
– le nouveau pacte social demandé par le rapport de Monsieur Louis Gallois intitulé « Pacte pour la compétitivité de l’industrie Française » du 5 novembre 2012,
– la procédure d’évaluation du salarié et le licenciement pour incompétence professionnelle,
– la rigidité du droit du travail,
– les conditions de travail et le stress liés à la complexité des systèmes d’information,
– les stratégies alternatives aux compressions d’effectif,
– les risques psychosociaux,
– la formation professionnelle et relationnelle des managers,
– les nouveaux modes qui permettront de concilier la liberté individuelle et la nécessité d’une intelligence collective,
– l’urgence de restaurer la confiance et la simplicité.